Jouyaku Okugi [PV with Amaru Hanada]

Le Mizukage se tenait droit comme un "i". Derrière lui se dressaient quatre jonins du conseil dans la même position, suivit des chefs de l'Umiryuu, la marine de guerre, et de la brigade Batsu, l'équivalent des Anbu. Le groupe était complété par deux conseiller civil de Kiri, et accessoirement représentant du Daimyo. Toutes les autorités, militaires et civiles, de Mizu no Kuni étaient présente dans le bureau du Kage de Kiri. En effet en ce jour le village de la Brume s'appretait à recevoir secretement le Dieu du village d'Ame, Amaru Hanada.
Les deux dirigeant correspondait depuis quelques temps déjà, et tout était prêt afin de sceller une alliance. Les Daimyos des deux pays, enfin, surtout celui du Pays de l'Eau, le Dieu cumulant les deux charges, avaient donné leurs accord pour que le traité soit signé. Il ne restait plus qu'à en fixer les conditions.
On ne connaissait que peu de chose du Dieu d'Ame : il avait mit fin à un régime tyranique que subissait le Pays de la Pluie depuis la fin de la seconde guerre ninja, il maitrisait apparament le Katon, et surtout il vait le hachoir, le Kubikiri Hocho ! Une des septs épées légendaires ! Noburo ignorait comment il réagirais si il se ramenait avec ce trésor du village sur le dos, mais certains conseiller conservateurs voulaient poser comme condition inviolable la restitution de la si précieuse épée.
Toujours est-il que cet homme semblait belliqueux. Il n'était pas de cette nouvelle vague composées de jeunes pacifistes ne comprenant rien à la guerre. Bien sur la guerre provoquait son lot de perte, mais c'est dans la guerre quémergeait le meilleur des hommes, c'était là la vraie place du shinobi, là où un village pouvait véritablement imposé sa puissance. L'examen chunin inter-village ? Un pâle parodie sans saveur d'un vrai combat. C'est quand son coéquipier est proche de la mort qu'on est le plus apte à l'aider et le sauver.
Cette alliance semblait elle aussi prometteuse. Depuis quelques années les relations entre les villages majeurs s'exacerbaient, la situation politique était comme une salle remplie d'explosif, il ne suffirait que d'une simple étincelle pour déclenché une Troisième Grande Guerre Shinobi. Ainsi Noburo appliquait le dicton "Il vaut mieux prévenir que guérir". Kiri était sur une île, et bien que depuis son arrivé au pouvoir le Yondaime Mizukage s'était acharné à dévelloper une marine de guerre efficace un appui direct sur le continent serait une économie d'homme et d'énergie. C'est pourquoi ce village, réputé pour ses tueurs, serait d'une grande aide dans le conflit à venir. Il faudrait ensuite compléter cette alliance par un troisième village, majeur si possible. Le Telru pensait déjà à l'allier historique de Kiri, le Village des Nuages, ou encor à Suna no Kuni.
De plus ce jeu de signature et de poignée de mains devrait être fini avant le début de l'examen inter-village des chunins, qui, pour la première fois depuis des années, se déroulait dans le Village de la Brume. Noburo avait le sentiment que cet examen ne se déroulerait pas comme prévus. Ou alors était-ce la tention à la veille d'un évènement aussi important?

Quoiqu'il en soit la Dieu ne devrait pas tarder à arriver. Un petit mais rapide navire était allé le chercher, lui et sa suite. Le moment de vérité approchait, et il détarminerait surement une partie de l'avenir de monde ninja.
Le Dieu d'Ame et le Yondaime Mizukage s'appretait à signé l'Alliance Secrète, la Jouyaku Okugi.

Cela faisait déjà un petit moment que Le dieu d'Ame attendait sur les rives, mais lui et son escorte ses forces spéciales "Honoo no Kitai " les flammes de l'espoir furent bien vite acheminait dans le pays de l'eau à l'aide d'un petit bateau envoyé par le mizukage, il avait d'ailleurs parcouru le bout du chemin vu qu'il se situait juste en face des grandes portes de Kiri.

Pour lui cette rencontre avait un but bien précis bien évidemment l'alliance entre les deux pays devait être signée dans les projets futures de ceux-ci, mais il devait aussi observer la puissance militaire du pays et il ne fut pas déçu. La réputation des ninjas de Kiri n'avait rien de faux, de parfait assassins prêt à bondir sur la moindre menace. Amaru se sentait presque chez lui avec un léger parfum d'écume en plus. Pour éviter tout problème durant la rencontre il avait pris ses précautions, Son arme fut laissé à Ame avec ça salamandre il aurait bien voulu voir qui aurait eu l'audace de voler une Salamandre enragée après un réveil non désiré. Il n'avait amené que ses plus fidèles gardes pour éviter les petites "escarmouche" à travers le pays, enfin il revêtait la tenue officiel de son rang et n'étais pas habillé de sa tenue de guerre. Une alliance avec le mizukage, ceci était un bon début pour les projets d'Amaru. La guerre, la guerre voit naître les héros et mourir les perdants et il ne comptait pas fair partit des morts d'ici quelque temps, non il réservait ça a ses chères amis de Konoha et leur "Hokage". Un pays de porc qui se prostitue dans de belles paroles de paix et de libertés alors qu'au fond ce sont eux les plus traître et les plus dangereux. Une menace qui n'a que trop durée et qui finira comme tous les tyrans du monde shinobi, anéantie. Mais il fallait se montrer patient toute chose mérite d'être préparé et une invasion n'est pas une chose facile a faire, de plus le chef d'Ame avait des projets plus importants en tête pour le moment, les villages mineurs devaient le rejoindre, il avait déjà commencer une longue séries de rencontre diplomatique avec des nombreux pays mineurs notamment ceux de l'herbe et du riz. Mais rien de sûr pour le moment, cette entretien était le moyen parfait de délimité les territoire entre ses deux pays et sur les conquête futurs.

Au loin il vit qu'une troupe les attendait il venait juste de traverser les portes et se diriger vers le bureau du mizukage le sourire aux lèvres, les pensées occuper par des projets trop longtemps garder.

Le Dieu d'Ame et sa suite entrèrent dans le bureau et Noburo se dirigea vers eux. Bien sur il avait été sommairement fouillé au préalable, on ne rencontra pas le Mizukage avec la possibilité de le tuer. Le chef de Kiri serra chaleureusement la main de son homologue du Pays de la Pluie avant de l'inviter à s'asseoir à la table des négociations. Et ceci n'est pas une image. En effet le Mizukage se dirigeait vers une table incruste dans le plancher, de moelleux bancs en faisait le tour. Cette table était une des particularités du bureau que préférait le Telru, avec le bassin dans lequel nageait des poissons-chats. Cette table se situait au niveau du plancher, mais tout autour était en quelque sorte "creuser" des bancs auxquelq on accédait par deux petit escaliers. Noburo y prit place, en face d'Amaru, les conseillers civils à sa droite, le chef de la Marine et de la Brigade Batsu à sa gauche. Les quatres jonins s'étaient assis en tailleurs derrière, portant fièrement leurs uniformes sans manches bleu foncé.
Le Mizukage prit alors la parole :

-Très bien. Nous savons tous ici qu'une nouvelle guerre va éclater. Et nous voulons tous être dans le camp des vainqueurs.

Noburo fit une pause. Par cette dramatique entré en matière et son ton grave il avait de suite mit l'accent sur le côté sérieux de la réunion.

-Il ne manque qu'une seule chose pour conclure définitivement notre accord messieurs : les conditions et les gains des deux parties.

Nouvelle pause, bien plus courte, le Mizukage reprenant quasiment instantanément.

-Mes conditions sont simples : les forces d'Ame devront venir en aide et toujours répondrent présente pour les opérations d'envergure menné par Kiri. De plus nous voulous l'annexion pure et simple du village Uzushio, du Pays des Tourbillons ainsi que d'une zone sur le continent sous notre contrôle, peu importe le pays.

Noburo sentit la tensions chez ses hommes. Il avait volontairement hommis de parler du Kubikiri Hocho. Amaru ne l'ayant pas apporté il ne pus savoir qu'elle aurait été la réaction des plus conservateurs de ses hommes. Néanmoins il présentait que ce sujet allait être abordé très prochainement...

Quelques secondes passèrent durant lesquels Amaru réfléchît, il allait bien sur accepté. Un tel marché ne pouvait qu'apporter des avantages conséquent pour lui et pour son pays, mais il sentait comme des regards étrange de plusieurs membres de l'assemblée qui l'entouré. Il en devinait la raison, mais ce qu'ils espéraient n'allait certainement pas arriver, il fini vite par reprendre la conversation avec le chef de Kiri.

-des conditions raisonnables, je suis tout à fait d'accord avec celle-ci. Du moins si mes conditions sont elles aussi respecté.

Il fit un léger sourire puis continua.

-Enfin les voici, les forces de Kiri devront m'envoyer leur soutien dans une opération d'envergure visant a unifié les villages mineurs qui ne sont pas d'accord avec ma politique d'union. De plus si une guerre vener a éclaté et que Konoha entrée en guerre je veux m'assurer personnellement de la chute de l'hokage. Au sujet du reste je pense qu'une autorisation d'accès militaire entre nos deux territoires nous serez favorables ainsi qu'une entraide économique mon pays étant très industrialisé je peux aussi vous fournir dans différentes matières premières. Cela vous va ?

La salle était sous tension, mais les deux hommes semblaient serein ils s'avaient très bien qu'une alliance était profitable pour les deux partis et qu'il ne servirai à rien de se faire un ennemi de plus.

Noburo écouta attentivement les demandes du Dieu d'Ame. Elles étaient légitime, mais le Mizukage nota y une haine profonde et irrationnelle envers Konohagakure no Sato. Ainsi Amaru Hanada, dirigeant suprême d'Ame no Kuni détestait les shinobis de la feuille. Voilà une bonne occasion de légérement modifié le pacte. En effet la deuxième Grande Guerre Ninja avait été dirigée, au départ, contre Konoha, et nombre de shinobi de Kiri ressentait encore une certaine haine envers ce village, soit qu'il l'avait combattus, comme Noburo, soit qu'il avait perdus un proche par sa faute.

-Hum... fit le Mizukage. Je vous propose de diriger notre alliance contre Konoha car je suis totalement prêt à vous soutenir sur ce point. Néamoins je n'est pas le pouvoir de signé un accords économique entre nos deux pays, bien que j'y suis favorable. Pou celà je laisse Urisa, conseiller du Daimyo, prendre la parole.

Noburo savait que le représentant du seigneur ne s'opposerait pas à lui. Depuis un an il maneuvrait afin d'avoir une totale mainmise sur le pays, et la plupart des conseiller du Daimyo lui était acquis, soit par la persuasion, soit par la menace ou ancore par la corruption. Le représentant se leva et posa les mains sur la table.

-En ma qualité d'envoyé du Daimyo à Kirigakure no Sato je déclare qu'un pacte économique serait très profitable à nos deux contrés. Je donne donc, au nom du seigneur de Mizu no Kuni, l'autorisation qu'un accord économique soit signé.

Ayant fini, et sachant qu'il n'avait pas à en dire plus, le conseiller se rassit.

-Bien, reprit Noburo, je pense qu'il ne nous reste plus qu'à signé ...
-Je ne suis pas de cet avis ! coupa un jonin, il reste un point que nous n'avons pas abordé!

D'un regard de braise Amaru resta les yeux fixer sur ce jonin d'apparence grotesque qui osait interrompre une discussion entre chef de village, il resta ainsi quelques minutes à le regarder avant qu'il ne finisse par reprendre la parole, il se leva et se dressa de toute sa stature, ses gardes firent de même.

-Et bien ? Quel est le problème, éclairez nous.

Amaru savait de quoi il allait parler et il était ravi de régler ce problème au plus vite, des choses bien plus importante qu'une arme était en jeux.

-Je suppose que vous voulez parler du hachoir de Kiri, justement à ce sujet j'ai quelque chose à vous dire et je souhaite être clair, cette arme a été repris à un déserteur de Kiri et non à un de ses ninja, de plus il fait partie de mon arsenal, je ne puis la rendre. Voyez cela comme une solide base de notre Alliance et de votre grande générosité.

Il n'avait pas détourner les yeux de son regard, puis en regardant le mizukage.

-En revanche, j'ai entendu dire, que je n'étais pas le seul "étranger" a possédé une des sept épées legendaires et que plusieurs déserteurs avaient emporté des épées avec eux, je vous les restituerai personnellement en gage de compensation Cela vous va ?

-Le village, et moi-même, vous remercierons de nous aider à reprendre Nuibari, dit Noburo, coupant le jonin.

Le Mizukage restait calme malgré ce qu'il ce passait autour de lui. Il était en partie d'accord avec Amaru, mais il ne pouvait laisser le hachoir entre ses mains, ne serait-ce que pour la forme. Il se leva à son tour, mais tranquillement contrairement à son homologue de la pluie. Il adressa un regard à l'assemblée présente avant de prendre la parole, pour mettre fin à cette histoire. Pour le moment du moins...

-Ce que vous dite tous les deux est vrai. Le Kubikiri Hocho est un des trésors du village, et il lui revient de droit, mais le Dieu d'Ame à terrasser un dangereux nukenin pour le récupéré, empêchant ainsi que les secrets de Kiri soit dévoilés.

Une courte pause.

-Je ne veux pas d'un combat dans mon bureau. De plus je veux que cette alliance soit conclue rapidement, je dois organiser l'examen chunin. Aussi je vous propose un arrangement temporaire. Vous garder le hachoir pour une durée de cinq ans en gage de générosité pour le pacte. Nous réglerons définitivement la question à cette date.
Celà vous conviens-t-ils?

Amaru était ravi, 5 ans ? c'était amplement ce qu'il fallait pour trouver un moyen de garder le hachoir et faire proliférer l'alliance il avait déjà plusieurs idées a ce sujet, mais pour l'instant il devait consolider leur alliance et montrer qu'il était un homme digne.

- Et bien pour moi, c'est accepté je salue votre patience mizukage votre réputation vous précède.

Puis il repris.

- Bon alors nous pouvons signer cette alliance maintenant que tous les sujets on été éclairci ?

Une flamme s'éclairer dans ses yeux lorsqu'il continua sa phrase.

Et faire de nos deux pays la puissance militaire qui renversera ce monde, le brisera de ses chaîne et verra l'avènement d'une utopie !

Il se rassi alors et imaginer déjà les possibilités qui s'offraient a lui et à son peuple. Mais il devait se depecher de terminer cette conférence entre les deux partis, en effet il devait au plus vite continuer sa diplomatie avec le pays de l'herbe et du riz qui semblait sur le point d'accepter une confédération sous ça souverainetés

-Très bien, cette fois il ne nous reste vraiment plus qu'à signé notre accord.

Noburo désignat un de ses jonin qui lui apporta un énorme rouleau de parchemin décoré d'or et d'argent. Il était si imposant que Noburo du le prendre à deux mains. avant de le dérouler sur la table. On y voyait inscrit une grande série d'écriture pour la forme affirmant que par le "présent document les Village de Kiri et de [champ à remplir] s'engageait a respecter les conditions fixer à la suite..." et bla et bla et bla. Bref, c'était un parchemein typ donc la lectures préliminaires étaient chiantes au possible, mais sans ce parchemin il n'y aurait aucune preuve que l'alliance avait été conclue.
L'assemblé regarda Urisa remplir le parchemin avec les conditions et les gains de chaque partie. Le Mizukage se tourna vers le Dieu du village de la pluie.

-Il ne reste maintenant plus qu'à apposer nos signature sur ce document. Il fit une très courte pause. Vous connaissez le principe des invocation ? Pour pouvoir invoquer un animal il faut signer un pacte avec son espèce, les liants ainsi à jamais. Ce pacte fonctionne que si les signatures se font avec du sang. Eh bien se parchemin fonctionne exactement sur le même principe.

Et sur ses belles paroles Noburo fit apparaitre un kunai grâce au raikoukenka et s'entailla le doigt. Il signa ensuite de son nom avant qu'Urisa y appose le sceau de Mizu no Kuni. Il laissa ensuite sa place à Amaru afin qu'il signe a son tour avnt de refermer le parchemin pour définitivement le sceller avec de l'argent fondu.

[fin du rp ?]